LEXIQUE GENERAL DU COURS DE SPECIALITE PREMIERE
LEXIQUE GENERAL
DU COURS DE SPECIALITE PREMIERE
L’abstention* se distingue de la non-inscription sur les listes électorales et du vote blanc et nul. Elle désigne le comportement consistant pour un inscrit à ne pas participer à une élection (P2).
Un abus de position dominante* désigne une pratique qui consiste à utiliser le pouvoir de marché détenu par un offreur dominant pour imposer des conditions déloyales aux consommateurs et aux autres producteurs : prix « prédateurs », ventes forcées, rationnement des quantités pour maintenir la rareté, barrières à l’entrée, … (E21).
L’actionnaire* est le propriétaire de tout ou partie du capital social de l’entreprise. Ce capital est décomposé en actions qui achetables et vendables sur les marchés financiers et notamment « la bourse » (R21).
L’aléa moral* consiste dans le fait qu’une personne ou une entreprise assurée contre un risque peut se comporter de manière plus risquée que si elle était totalement exposée au risque (E22),(R12).
Assistance* : Principe de financement de la couverture des risques sociaux reposant sur l'imposition. Les bénéficiaires de l'aide sociale ne participent pas forcément à son financement (R12).
Assurance* : Principe de financement de la couverture des risques sociaux reposant sur les cotisations sociales ouvrant les droits de l'assuré aux prestations (R12).
Une asymétrie d’information* désigne une situation sur un marché pour lequel l’un des acteurs ne dispose pas de la même information que les autres intervenants sur ce marché. Les économistes distinguent 2 formes d’asymétrie d’information : la sélection adverse* et l’aléa moral* (E22).
L'autofinancement* est le fait pour un agent économique de se financer sans ressources extérieures (E31).
L’idée d’autorité* est à distinguer de celle de pouvoir : elle implique que le dirigeant a la capacité de donner des directives et de les faire appliquer de façon efficace (R22)
La banque centrale* joue le rôle de "banque des banques" : Lorsque celles-ci ne sont pas parvenues à se refinancer, soit auprès du marché monétaire, soit auprès d'autres banques, elles possèdent la possibilité de se refinancer auprès de la banque centrale. La banque centrale est alors qualifiée de banque « prêteur en dernier ressort ». (E42)
Les barrières à l’entrée* désignent les obstacles que doit surmonter une entreprise désirant se lancer sur un marché. Ces barrières peuvent être une caractéristique du marché (barrières structurelles) ou résultant d’une stratégie des acteurs du marché (barrières stratégiques) (E13).
Les biens collectifs* sont des biens non rivaux (la consommation d’un agent n’empêche pas celle des autres) et non excluables (il est impossible d’en empêcher l’accès). L’éclairage public, un cours de SES, la sécurité sont des biens collectifs (E22).
Les biens communs* sont des biens qui sont rivaux (leur utilisation par un agent empêche leur utilisation par un autre agent) et non excluables (on ne peut pas en empêcher l’accès). Les ressources halieutiques, les nappes d'eau souterraines, le climat, la biodiversité, etc. sont des biens communs (E22).
L’individu déviant a conscience du rôle social qu’il doit jouer : il opte pour une « carrière déviante* » au cours de laquelle il va adhérer aux normes du groupe déviant et revendiquer son statut de déviant face aux normes dominantes. Il devient un « outsider » (Howard Becker, 1963). (S31)
Centralisation* : Dans l’entreprise, fait que les décisions soient prises par un faible nombre de personnes (R22).
La différence entre la criminalité réelle et sa mesure par les services de police et de justice correspond au chiffre noir de la délinquance*. (S32)
La concurrence parfaite* désigne une situation de marché sur lequel aucun acteur, offreur ou demandeur, ne peut contrôler le prix. On dit qu’ils sont preneurs de prix* (E11)
Le contrôle social* désigne l'ensemble des moyens de pression formels ou informels qui permettent à la société d'amener les individus à des attitudes sociales conformes (E31).
La coopérative* est une entreprise qui repose sur le principe « une personne = une voix » : la prise de décisions se fait par le vote et le poids de chacun dans les décisions ne dépend pas de son apport financier. Les coopératives font partie de l’économie sociale et solidaire (R22).
La courbe de Demande* représente graphiquement les évolutions des quantités demandées par les consommateurs en fonction des prix. En général, cette courbe est une fonction décroissante des prix (quand le prix augmente, la demande diminue) (E11).
La courbe d'Offre* représente graphiquement les évolutions des quantités offertes par les producteurs en fonction des prix. En général, cette courbe est une fonction croissante des prix (quand le prix augmente, l'offre augmente) (E11).
Coût marginal* : coût de la dernière unité produite (E12).
La création monétaire* est le processus par lequel de la monnaie nouvelle est introduite dans le circuit des échanges économiques (E42). Dans le monde contemporain, une partie de la monnaie est scripturale, créée par les crédits accordés par les intermédiaires financiers ; la masse monétaire évolue constamment. Elle désigne l'ensemble des moyens de paiement dont disposent les agents économiques d'une économie donnée.
Un crédit* est la mise à disposition d'argent sous forme de prêt, consentie par un créancier (prêteur) à un débiteur (emprunteur) moyennant un prix négocié (le taux d’intérêt). C’est également ainsi que les états se financent leur déficit (E31).
Décentralisation* : Dans l’entreprise, la décentralisation désigne le fait que les décisions sont prises par de nombreuses personnes. La structure hiérarchique de l’entreprise est alors peu verticale (R22).
Le marché ne permet pas toujours de trouver un équilibre ou de créer la meilleure situation possible pour l’économie et la société (optimum) : on parle alors de défaillances du marché* (E22).
La délinquance* est une forme particulière de la déviance qui a pour particularité de transgresser le code légal explicite de la société (S32).
La déviance* regroupe des comportements qui ne sont pas conformes aux normes sociales et qui sont l'objet d'une réprobation sociale (S31).
Pour se protéger des risques, les individus peuvent aussi chercher une diversification du risque* : Engagement dans des actions dans des domaines différents afin de limiter les pertes en cas de survenue d’un risque dans un domaine (R11).
Dans le cas des ententes*, des accords entre entreprises ont pour objectif d'empêcher, de restreindre ou de fausser le jeu de la concurrence sur un marché (E31).
L’entreprise* est une organisation physique ou morale qui produit des biens ou des services de façon marchande, c’est à dire avec l’objectif de réaliser un profit. A sa tête, on trouve « l’entrepreneur » (R21).
La notion d’entrepreneur* est couramment utilisée mais avec des sens parfois très variés. D’une manière générale, ce mot désigne la personne qui dirige une entreprise et qui en porte le projet, sans qu’elle en soit forcément le propriétaire. Pour l’économiste Joseph Schumpeter, ce terme désigne surtout un type particulier de chef d’entreprise : Pour lui, l’entrepreneur est quelqu’un qui aime prendre des risques et cherche à développer son entreprise par l’innovation (R21).
L'épargne* des ménages est la part non consommée du revenu disponible (E31).
Le prix d'Equilibre* est le prix pour lequel sur un marché les offres égalent les demandes de produit (E11).
La théorie de l'étiquetage social* est une théorie soulignant comment le comportement des individus peut être déterminé ou influencé par les termes utilisés pour les décrire ou les classer. (S31)
En cas de déficit excessif, les administrations publiques captent l’épargne au détriment du financement des entreprises privées (ce que l’on appelle « l’effet d’éviction* ») ce qui peut nuire à l’investissement des entreprises et donc de la croissance et de l’emploi (E32).
L’excédent brut d’exploitation* (EBE) est la part de la valeur ajoutée réalisée par l’entreprise qui rémunère le capital investi. Il faut donc soustraire à la VA la part du travail (salaires, primes, cotisations versées) et la part de l’état (taxes et impôts). (E32)
On dit qu'il y a externalité* pour désigner les effets économiques positifs ou négatifs de l'activité d'un agent économique sur le bien-être des autres agents, sans compensation monétaire. En général, ces effets sont involontaires (E22).
La plupart des marchés existants sont des « marchés imparfaits* » : un ou quelques acteurs du marché, des offreurs notamment, sont en mesure de contrôler ou d’influencer le prix du produit. On dit qu’ils détiennent un pouvoir de marché : ils sont faiseurs de prix* (E11).
Financer* l'économie, c'est fournir des capitaux aux agents économiques qui en ont besoin. Il s'agira donc de mettre en relation les agents économiques qui disposent de liquidités avec ceux qui en cherchent (E31).
Les fusions-acquisitions* désignent les différents aspects du rachat du capital d'une entreprise par une autre entreprise ou par un groupe d’entreprises (E21).
L’équilibre permet des gains à l’échange* pour les acteurs du marché : ils obtiennent plus de biens et de services que dans un cadre non concurrentiel ou autarcique (E12).
La gouvernance* désigne la manière de prendre les décisions dans l’entreprise en tenant compte des intérêts des différents membres de cette entreprise. Les différentes « parties prenantes » de l’entreprise (les salariés, les managers, les propriétaires, etc.) sont impliquées dans la prise de décision (R22).
Hiérarchie* : Façon dont sont organisés le pouvoir et la prise de décision dans l’entreprise. Elle repose souvent sur des niveaux différents de pouvoir (R21).
Dans les sociétés modernes, l'autonomie des individus progresse et tend à rendre les liens sociaux plus personnels et sélectifs, plus détachés des cadres du groupe d’appartenance : c’est un processus d’individualisation* (S21).
Une innovation* est l’application économique d’une invention. L’innovation peut porter sur un nouveau produit et/ou un nouveau procédé (une nouvelle manière de produire, une nouvelle manière de commercialiser, une nouvelle organisation de l’entreprise ou l’utilisation de nouvelles matières premières, …). (R21)
Les instances de socialisation* désignent les institutions qui ont pour fonction principale ou secondaire de permettre la socialisation. Dans le cadre de la socialisation primaire, ce sont la famille, l'école, les médias et les pairs qui jouent le rôle moteur (S11).
Le marché n’existe pas spontanément : c’est une institution. Il faut des lois, des règles et des pratiques qui favorisent son fonctionnement. En ce sens, les économies de marché constituent des constructions politiques, voulues par les acteurs de l’économie (institutionnalisation du marché*) (E11).
L'investissement* des entreprises désigne l'achat de moyens de production nouveaux (E31).
Le lien social* désigne l'ensemble des éléments qui relient les membres d'une société les uns par rapport aux autres. Ils permettent de construire une identité collective assez concrète dans laquelle se reconnaissent les membres de la société. Les individus ont le sentiment d'appartenir à cette collectivité (S21).
Le manager* est un(e) salarié(e) qui est chargé(e) de prendre des décisions dans l’entreprise, voire de la diriger (R21).
Un marché* désigne un lieu fictif ou réel où les offres et les demandes d'un produit se confrontent librement. De cette confrontation résulte le prix du produit ou de la marchandise (E11).
La plupart des marchés existants sont des « marchés imparfaits* » : un ou quelques acteurs du marché, des offreurs notamment, sont en mesure de contrôler ou d’influencer le prix du produit. On dit qu’ils détiennent un pouvoir de marché : ils sont faiseurs de prix* (E11).
Marché monétaire* : Marché sur lequel les agents économiques négocient entre eux leurs besoins et leurs excédents de capitaux à court et moyen. (E42)
Dans le monopole*, un producteur contrôle toute l’offre (prix et quantités) (E11).
Le monopole naturel* désigne une situation de marché imparfait dans lequel la concurrence initiale a abouti à une sélection du producteur le plus efficace.
Le monopole institutionnel* résulte d’une décision politique de protection d’une production confiée à un seul producteur pour des raisons militaires, d’égalité, de contrôle de la production, de santé publique …
Le monopole d’innovation* est une situation de marché sur lequel un offreur est parvenu à être le seul producteur d’un produit donné, notamment grâce à une innovation reconnue et protégée par un brevet (E13).
La mutualisation* des risques est un principe important en assurance : Principe selon lequel tous les assurés participent au financement de la prise en charge des dommages subis par les victimes (R11).
Les normes* sont des règles, obligations et usages prescrits par la société ou le groupe d'appartenance. Ces règles sont plus ou moins institutionnalisées et fondées sur des valeurs (S11).
Normes juridiques* : règles explicitées dans le droit (Lois, règlements...). (S31)
Normes sociales* : règles implicites ou explicites du « vivre ensemble » jeter son chewing-gum ou cracher par terre, utiliser son téléphone portable dans un lieu public, les règles de politesse, …) (S31)
Dans l’oligopole*, l’ensemble de la demande d’un produit est adressé à quelques producteurs (E11).
L’opinion publique* est l’ensemble des points de vue et des croyances perçus comme majoritaires au sein d’une population (P1).
Politique de la concurrence* : ensemble des interventions des autorités publiques pour maintenir les conditions d’une concurrence « non faussée » qui désavantagerait les consommateurs (E21).
Pour certains économistes, l’augmentation du déficit est un stimulant de l’activité économique par le biais d’une politique de relance* (consommation, grands travaux, développement de l’emploi public, …). (E32)
Sur ces marchés, un ou plusieurs agents disposent d’un pouvoir de marché* : ils sont en mesure de contrôler le prix (ou les quantités) des produits vendus sur le marché. On dit qu’ils sont faiseurs de prix* (et non preneurs* de prix comme dans la CP) (E13).
Les pouvoirs publics* désignent le gouvernement et l'ensemble des services chargés de l'administration d'un Etat ou d'une collectivité territoriale. Elle peut aussi désigner plus spécifiquement telle ou telle administration (Police, Education nationale, etc …) (E22).
La précarité désigne un contexte économique et social dans lequel un individu perd les repères qui lui donnaient un statut dans la société. Sa position devient incertaine, source d’insécurité sociale (exemple : la perte d’un emploi) (S22).
La concurrence parfaite* désigne une situation de marché sur lequel aucun acteur, offreur ou demandeur, ne peut contrôler le prix. On dit qu’ils sont preneurs de prix* (E11).
Professions et Catégories Socio-professionnelles* (PCS). Dans cette approche, les individus et les groupes sont classés par l’INSEE à partir de 7 critères principaux qui définissent la place des membres de la société à partir de leur rôle dans l’activité économique (S22).
La protection sociale* désigne l’ensemble des dispositifs mis en place pour assurer et aider les individus devant les risques majeurs de l'existence (chômage, maladie, vieillesse, famille). (R12)
On parle de réseaux sociaux* pour désigner l’ensemble des personnes avec lesquelles un individu est en contact (S21).
Les réserves* des entreprises sont constituées de la part non distribuée de la valeur ajoutée (VA) (E31).
Le revenu disponible des ménages* correspond au revenu dont dispose effectivement les ménages pour consommer et épargner (E32).
Un risque* est la probabilité qu’un événement considéré comme un mal ou un dommage. Pour une société d’assurance, le risque est un préjudice, ou un sinistre éventuel que les compagnies garantissent moyennant le paiement d’une prime (R11).
La définition du risque social* est en revanche plus délicate. Ce dernier peut en effet être considéré comme un événement pouvant advenir à tout individu et entraîner pour lui des dépenses importantes, ou se traduire par une dégradation sensible de ses revenus et/ou conditions d’existence (R11).
La sélection adverse* désigne une situation où l’asymétrie d’information porte sur des caractéristiques cachées du produit échangé (E22).
La sécurité sociale*, organisme public organisant la prise en charge collective des risques sociaux, est l’illustration emblématique de cette intervention des pouvoirs publics dans la couverture collective des risques sociaux (R12).
La sociabilité* désigne l’activité par laquelle les individus créent et entretiennent des contacts et des liens avec d’autres personnes. Les sociabilités numériques* désigne les formes de la sociabilité qui se développent grâce aux outils numériques (S22).
La socialisation* est l'apprentissage des règles (normes et valeurs, anticipation de l’avenir) de la vie en société. Les sociologues distinguent la socialisation primaire* (celle qui est propre à l'enfance et à l’adolescence) et la socialisation secondaire* (celle qui se prolonge tout au long de l'existence). (S11).
On parle de socialisation anticipatrice* lorsqu'un individu acquiert par avance les normes d'un groupe de référence qu'il aspire à rejoindre (S12).
La socialisation « conjugale* » est le processus durant lequel un individu apprend et intériorise les normes et valeurs qui vont être engagées dans la vie du couple et de la famille : enjeux économiques et sociaux du choix du conjoint, apprentissages psychologiques, éducation des enfants, gestion de la famille, ... (S12)
Néanmoins, si ces instances jouent le même rôle fondamental dans le processus de socialisation, les formes de cette socialisation ne sont pas indifférentes au statut particulier que la personne socialisée sera amenée à occuper dans la société. Elles sont « socialement situées ». On parle socialisation différentielle* par exemple selon le sexe ou l’origine sociale (S11).
La socialisation politique* est le processus durant lequel un individu apprend et intériorise les normes et valeurs liées au contexte politique : règles du pouvoir, désignation des gouvernants, droits et devoirs du citoyens, préférences partisanes, comportements électoraux, ... (S12)
La socialisation professionnelle* est le processus durant lequel un individu apprend et intériorise les normes et valeurs propres à un métier ou un corps de métier : compétences et savoirs, savoirs-faires, savoirs-être, culture de l’entreprise, relations sociales au travail, droits et devoirs du travailleur, ... (S12)
Le solde budgétaire* de l'État est en France la différence entre le niveau des recettes et le niveau des dépenses constatées dans le budget de l’État. Lorsque ce solde est positif, il s'agit d'un excédent. Dans le cas contraire, on parle de déficit (E32).
Dans les communautés, la cohésion sociale est très forte car tous les membres adhèrent au même système de croyance et de valeurs, à la même culture. Les individus se ressemblent très fortement, ils sont donc mécaniquement solidaires car très semblables (solidarité mécanique*) (S21).
Dans les sociétés, le lien social est plus complexe du fait que les consciences individuelles sont plus ou moins en cohérence avec les règles sociales. La division du travail aboutit donc à une solidarité organique* : chaque individu occupe une fonction particulière et participe en coopérant à la vie de la société. Dans ce cadre, l'individualisme est conciliable avec le lien social (S21).
Un sondage d’opinion* est une enquête qui vise à étudier les opinions d’une population grâce à la passation d’un questionnaire auprès d’un échantillon représentatif de cette population (P1).
Statut juridique* de l’entreprise : droits et obligations de l’entreprise en fonction de ses caractéristiques. (R21)
Stigmatisation* : mise à l'écart d'un individu (ou d'un groupe) en raison de son écart à la norme (S31).
Le surplus du consommateur* est la différence entre ce qu'un consommateur est prêt à payer pour un bien et le montant effectivement payé (E12).
Le surplus du producteur* représente la différence entre le prix auquel le producteur était prêt à vendre un bien et le prix obtenu (le prix d'équilibre) (E12).
Le taux d’abstention* mesure la part des inscrits qui ne se sont pas déplacés au bureau de vote le jour de l’élection (nombre d’abstentionnistes/nombre d’inscrits sur les listes ; ou 100 - taux de participation). (P2)
Le taux de participation* mesure la part des inscrits qui sont allés voter lors d’un scrutin (nombre d’inscrits ayant voté à une élection/nombre d’inscrits sur les listes). (P2)
Le taux d’inscription* mesure la part d’une population en âge de voter qui s’est inscrite sur les listes électorales (nombre d’inscrits/nombre de personnes en âge de voter). (P2)
Le taux d’intérêt* constitue le prix des fonds prêtables sur les marchés financiers. Comme tous les marchés concurrentiels, il résulte de la confrontation des offres de financement (agents à capacités de financement) et des demandes de financement (agents à besoins de financement). (E31)
Taxe forfaitaire* : C’est une contribution qui porte sur un produit ou un revenu et qui s’applique uniformément à tous les contribuables, en général en modifiant artificiellement le prix (E12).
Les valeurs* désignent des idéaux ou des manières d'être, considérés comme estimables dans un groupe social ou une société. Ces valeurs sont abstraites et il faut les traduire par des normes (S11).
L'enquête de victimation* ne concerne que les infractions dont sont victimes les particuliers dans la mesure où elle mesure la délinquance perçue par les victimes (S32).
La volatilité électorale* (ou mobilité électorale) peut se définir comme un comportement peu fidèle au vote partisan, autorisant des changements de camp politique ou alternant entre vote et abstention (P2).